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Agenda WYL - Octobre 2020

Dernière mise à jour : 5 nov. 2020

L’automne est arrivé, la grisaille et le froid pointent le bout de leur nez. Retrouvez un peu de couleurs avec l’agenda du mois d’octobre !


Avant d'entrer dans le vif du sujet, un évènement à ne pas manquer dont nous sommes partenaires !!!

 



Maison de Force

: Galerie AEDAEN, 1A rue des Aveugles, Strasbourg

Quand : Jusqu'au 17 Octobre


Du 25 septembre au 17 octobre 2020, le collectif artistique Eaux Fortes présente une exposition d'envergure à AEDAEN Gallery à Strasbourg. Intitulée Maison de Force, cette manifestation propose un parcours artistique, réflexif, sensible et esthétique hors des sentiers battus.

Dans un décor immersif qui transforme AEDAEN en lieu de vie, 26 artistes internationaux et un collectif engagé remettent en question la "force" comme impératif, et tentent de donner au sensible une place nouvelle dans la construction de nos imaginaires et de nos sociétés. Les œuvres exposées décortiquent les relations de pouvoir, analysent la mécanique des modèles asservissants, et identifient des moyens de les démanteler, les déconstruire, d'entrer en résistance. Pour beaucoup, les pratiques de ces artistes apparaissent comme des recettes magiques libératrices, qui permettent d'imaginer autrement nos relations.


Avec : Sylvie Blocher, Emo de Medeiros, Tabita Rézaire, Geneviève Aïssi, Thiemoko Claude Diarra, Bettie Nin, Jean David Nkot, Eric Androa Mindre Kolo, Paola Guigou, Beya Gille Gacha, Ghizlane Sahli, Cléophée Moser, José Aparício Gonçalves, Hoàng Lê, Tickson Mbuyi, Ida Simon Raynaud, Precy Numbi, Mickaël Dragicevic, Nyaba Leon Ouedraogo, Nathalie Seiller et Caroline Veith, Anita Mobando a.k.a. New mama, Mour Fall, Marie Edith Charni Robinne et Lucie Nichelmann. Avec une projection spéciale de François Knoetze, une performance inaugurale d’Eric Androa Mindre Kolo et du collectif Eaux Fortes, et l’aimable participation des chercheur.ses Yves Citton, Kahena Sahana, et du laboratoire Hyperthèses (Robin Birgé et Sarah Calba).



 



Exposition Harouna Ouédraogo et Abou Traoré

Où ? Galerie Art-Z, 27 rue Keller, 75011 Paris

Quand ? jusqu'au 24 octobre


Exposition dialogue s’il en est une, la galerie Art-Z, en partenariat avec l’agence F. Deneulin, présente en regard le travail de Harouna Ouédraogo et celui d’Abou Traoré. Peinture et sculpture se font face posant cette éternelle question depuis qu’il y a des théories sur l’art : celle du rapport couleur/matière. 

Abou Traoré, sculpteur burkinabé dont les oeuvres évoquent le modernisme, s’inspire des masques et de sa culture. Il puise dans la tradition pour comprendre la société contemporaine. 

Harouna Ouédraogo, peintre et dessinateur burkinabé au style expressionniste, réalise des oeuvres sur le fil du rasoir entre passion et violence, entre figuration et abstraction, couleurs et matières.


plus d’informations : https://art-z.net/elementor-14808/


Bodys Isek Kingelez, La Tupina Restaurant, 2008, courtesy Galerie Natalie Seroussi

Kings of Kin

Où ? Galerie Magnin-A, 118 Boulevard Richard-Lenoir, 75011 Paris

Quand ? Jusqu'au 30 octobre


Jusqu’au 30 octobre la Galerie Magnin -A, en collaboration avec la galerie Natalie Seroussi, met à l’honneur trois grandes figures de la scène contemporaine kinoise. L’exposition Kings of Kin présente le travail de Chéri Samba, Bodys Isek Kingelez et Moké. Tous trois s’inspirent de la vie quotidienne à Kinshasa et des nouvelles internationales, mêlant les références. Chacun avec leurs esthétiques propres, ils rendent le dynamisme et l’énergie débordante de la société congolaise. Chéri Samba et Moké dépeignent la société actuelle avec humour et une grande liberté de ton, tandis que Bodys Isek Kingelez ré-imagine le monde. 




Je suis l’archive

Où ? Villa Marie Vassilieff, Chemin du Montparnasse, 21 avenue du Maine, 75015 Paris

Quand ? jusqu'au 19 décembre


Euridice Zaituna Kala inves­tit l’espace de la Villa Vassilieff avec l’expo­si­tion “Je suis l’archive”, et pro­pose une relec­ture nar­ra­tive et sen­si­ble des archi­ves du fonds Marc Vaux, sur les­quel­les l’artiste a tra­vaillé dans le cadre de la bourse ADAGP - Villa Vassilieff. Au tra­vers d’un par­cours mental et sonore, l’expo­si­tion mêle les pro­pres sou­ve­nirs et réfé­ren­ces de l’artiste à des réflexions sur les archi­ves elles-mêmes, leur fra­gi­lité, leur poro­sité, et leurs man­ques. En incluant des indi­vi­dua­li­tés sin­gu­liè­res à ces archi­ves, Euridice Zaituna Kala se réap­pro­prie l’écriture de l’his­toire et montre, par l’imbri­ca­tion de ces des­tins, qu’une autre his­toire par­ta­gée et col­lec­tive est pos­si­ble. 


texte de présentation de l'exposition 



Mauricio Limon de Leon, El Primero que ria, video HD, 2012, 9'02''

Le premier qui rira : Mauricio Limón de León

Où ? Institut culturel du Mexique, 119 rue Vieille du Temple 75003 Paris

Quand ? Jusqu'au 29 octobre


L’artiste mexicain, actuellement en résidence à la Fondation Fiminco, expose à l’institut Culturel du Mexique son portrait réaliste et critique du quartier Iztapalapa de la ville de Mexico. À travers l'humour, la satire et un langage poétique, Mauricio Limón dévoile la vie quotidienne de ses habitants. Nous sommes face à une société déstabilisée par la corruption et l’injustice, devant une population isolée et fragile, des familles endettées, des personnes sans-abri, une population marginale que l’artiste met en lumière avec son discours militant. 



Jésus Rafael Soto, Cuatro valores vibrantes, 1985, relief peinture sur bois et métal, 203 x 203 cm

Carrément Soto

Où ? Galerie Denise René, 22 rue charlot 75003 Paris

Quand ? Du 10 octobre au 21 novembre


À partir du 10 octobre, la Galerie Denise René - Rive gauche consacre une exposition à Jesús Rafael Soto (1923-2005), figure majeure de l’art cinétique. Né au Vénézuela, Soto se rend à Paris en 1950 pour découvrir l’impressionnisme et le cubisme. À Paris, il fréquente le cercle de l’avant-garde abstraite mais s’éloigne vite de l’abstraction géométrique. Il contribue à la naissance du mouvement de l’art cinétique en participant en 1955 à l’exposition Mouvement. À travers cette retrospective la galerie Denise René rend hommage au désir de Soto de rendre dans ses oeuvres l’aspect mouvant et fluctuant de la réalité. 





Adrian Villar Rojas I la fin de l’imagination

Où ? Marian Goodman Gallery, 79 rue du Temple 75003 Paris

Quand ? jusqu'au 31 octobre


La galerie Marian Goodman - Paris accueille l’enquête spéculative et artistique menée par Andrian Villar Rojas durant le confinement. L’artiste s’y questionne sur la nature de l’imagination humaine, si le sens est une création de notre imagination. Pour lui une horloge et un calendrier contiennent la même dimension subjective qu’une oeuvre de Pollock. L’acceptation des premiers comme référent quasi universel de la mesure du temps est le résultat d’une dynamique de pouvoir. 

À travers une installation de grande envergure, Andrian Villar Rojas interroge la manière dont l’épidémie de Covid-19 affecte notre époque, notre langage et nos systèmes de représentation. 






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